Les Amis du NMWA*, comité créé en 2002 a pour mission de promouvoir et représenter le musée en France, d’y repérer les artistes femmes émergentes, de contribuer à les faire connaître, et de participer plus largement encore à la visibilité des artistes femmes établies.

* Association loi de 1901 autorisant la déductibilité fiscale des dons

Notre
mission

Les Amis du NMWA comité de soutien au National Museum of Women in the Arts, a été créé à Paris fin 2002.

Son objectif est double :

promouvoir la mission du musée de Washington, créé en 1987 et qui depuis plus de 30 ans, défend exclusivement les œuvres et la place des artistes femmes de toutes nationalités et toutes époques, de qualité muséale, dans les domaines de la peinture, sculpture, photographie et vidéos.

contribuer à une meilleure visibilité des artistes femmes créant et vivant en France, et faciliter les liens entre les 2 continents pour la promotion de ces artistes

Organise des évènements
Visites d’expositions, ateliers, conférences, voyages mettant en valeur les réalisations des artistes femmes dans toutes les disciplines de l’art : peinture, sculpture, musique, arts visuels, performance, installations, photographie, design…
PROMEUT L’ACTUALITé DES EXPOSITIONS D’ARTISTES FEMMES
Par une communication et un site dédiés
PARTICIPE A L’EXPOSITION BIENNALE « WOMEN TO WATCH »
à Washington, en sélectionnant et finançant la présence d’artistes françaises
Initie et participe à des projets pour soutenir les artistes femmes en France
Chaque année le comité décide des actions notamment dans le cadre de son soutien aux artistes émergentes : bourses attribuées par un comité curatorial, programme de mentorat, contribution à des ouvrages d’histoire de l’art ou des monographies par exemple
FACILITE LA LIAISON ENTRE LE MUSÉE ET LES INSTITUTIONS LOCALES
L’association crée des liens et des opportunités d’échanges avec le public français lors des visites des dirigeants du NMWA en France. Adhère à la FFSAM (fédération française des sociétés d’amis de musées)

Le NMWA
à Washington

The National Museum of Women in the Arts

Situé dans un monument historique à deux pas de la Maison Blanche, au centre de Washington, DC, le National Museum of Women in the Arts, créé en 1987 par Wilhelmina Cole Holladay et Wallace F. Holladay, est le seul musée au monde dédié exclusivement à la reconnaissance du talent des artistes femmes, dans toutes les disciplines de l’art (peinture, sculpture bien sûr, mais aussi musique, littérature, cinéma, photographie, design…).

Etablissement privé à but non-lucratif le NMWA veut rendre visible les artistes femmes. La collection permanente se compose de 5000 œuvres, du 16e siècle jusqu’à nos jours, créées par plus de 1000 artistes femmes. Une programmation ambitieuse d’expositions temporaires permet également d’accueillir des œuvres des plus grandes collections dans le monde.

L’éducation est également au cœur de la mission du musée, avec des programmes spécifiques : Women, Arts and social changes, Fresh Talks le magazine ,Women in the Arts… Le Musée finance une activité de recherche et un fonds d’archives riche de plus de 18,000 fiches d’information sur des artistes femmes du monde entier, disponibles sur la base de données en ligne « CLARA ».

Enfin, l’action du musée s’appuie sur un réseau national et international de 28 comités de soutien, dont le comité français, Les Amis du NMWA, 1° comité créé hors des Etats Unis.

National Museum of Women in the Arts
1250 New York Ave NW
Washington, D.C. 20005, U.S.A.
Téléphone : 202-783-5000

INFORMATION

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Le programme complet des expositions

Organisation

Comité exécutif

Fabienne Flanigan

Présidente

Judith de Montgolfier

Secrétaire

Annie Combelles

Trésorière

Sophie Lavine

Vous avez une question ?
N’hésitez pas à nous contacter !

lesamisdunmwa[@]gmail.com

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Michèle Iznardo est née en 1957 à Paris, elle

Alizée Gazeau est une artiste française née en

Clémence Mauger est née en 1991 à Roubaix. Après l’obtention en 2014 d’un master en arts plastiques à Paris 1 elle obtient un DNSEP à la Villa Arson en 2019. Elle est sélectionnée au prix des Révélations Emerige en 2020. En 2021 elle est invitée pour sa première exposition personnelle au Centre d’art Les Églises à Chelles, intitulée La mer de la tranquillité. Elle est aussi sélectionnée en 2022 au prix de peinture Décembre à Vitry. En 2023 le FRAC Auvergne acquiert trois de ses peintures et en montre une sélection dans l’exposition Beautés présentée au Frac Auvergne jusqu’au 5 novembre 2023.Elle réside et travaille actuellement à Romainville et Paris.

Souvent inspirées de photographies d’éléments de la nature, souvent végétaux, les peintures de Clémence Mauger peuvent aussi bien mêler des motifs célestes se confondant avec des représentations microbiennes. Elle joue d’ambiguïté d’échelles(..). Les traitements picturaux, flous et vaporeux, concourent aussi à poser la question de la distance du regard. La fine couche d’aquarelle posée sur le support apprêté à la poudre de marbre affirme sa présence sous la forme de gouttes ou d’auréoles. Clémence Mauger considère la peinture comme une cellule biologique combinant sa dynamique interne avec une porosité réactive à l’environnement. L’eau, médium principal de ses peintures, fait la liaison au cœur du tableau. L’apparente fragilité de ses peintures relève autant de la nature ambiguë de leurs motifs que de la densité flottante de leur matière.

🖼️présentés
Courtesy de l’artiste

Jus agave, Aquarelle sur toile, 162 x 130 cm, 2019

Acanthe le jour, Aquarelle et huile sur toile, 225 x 130 cm, 2019

Rainy Milky Way, (Détail), 220 x 360 cm, Aquarelle sur panneaux de bois, 2020

Space flower (3), Aquarelle sur bois apprêté à la poudre de marbre, 40 x 50 cm, 2023

Johanna Mirabel a été désignée lauréate de la

Evi Keller, artiste plasticienne née en Allemagne

Nohemí Pérez est née à Tibú, Colombie en 196

Originaire du Cap Corse, Joséphine Vallé Frances

Carole Mousset est née à Redon, France, en 1994 ; elle est diplômée des Beaux-Arts de Nantes. Elle a exposé entre autres au Confort Moderne, Poitiers, à la Chapelle XIV, Paris, et à l’Académie Royale

des Beaux-Arts, Anvers. La galerie Suzanne Tarasiève vient de nous faire découvrir cette artiste.

Elle vit et travaille à Bruxelles.

Carole Mousset libère sur ses toiles des formes organiques et fantastiques, entre humain, animal et

végétal.

Le travail de Carole se présente comme des propositions du réel déformées par les fantasmes qui gravitent autour de la matérialité humaine, en considérant le corps comme le contenant de fluides en constante mutation. Une expérience personnelle de la maladie à l’adolescence a modifié la perception qu’elle avait de son corps, à une période pourtant charnière de construction identitaire.

Cette expérience de dépossession du corps lui donne aujourd’hui la volonté de renouer avec un rapport sensoriel à celui-ci.

En présentant une approche subjective de l’exploration du corps intérieur, elle propose des visions de la réalité déformées par sa propre histoire et les perceptions du corps qui en ont découlé. Par la peinture, la sculpture, mais aussi la manipulation photographique, elle dépeint un environnement qui oscille entre une esthétique gore et quelque chose de plus doux et fantastique. Il s’agit toujours d’essayer de trouver un équilibre entre l’attraction et la répulsion, l’érotisme et le dégoût, pour exprimer une certaine forme d’émancipation du corps, dont les fluides seraient libérés de toute barrière épidermique.

Ce type de questions sensorielles soulève également des questions techniques : comment peindre le mouvement inhérent aux fluides ? Comment représenter le visqueux, la fluidité de formes irrégulières, ce qui se tord, se répand, ce qui luit ?

Les titres, poétiques ou volontairement trash, nous éloignent et nous rapprochent tour à tour
du sujet.
© Carole Mousset

Soleil de ma nature, 2023

Aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain, 2023

Invasive, 2022

Slimy Swamp, 2022

Alien egg, 2022

Stay hydrated, 2022

@carolemousset #galeriesuzannetarasieve #contemporarypainting

Artiste photographe, Anaïs Boileau (née à Nîme

DANA COJBUC, photographe, est née en 1979 en

Née en France en 2000, Eugénie Didier a grandi à Tarragone, en Espagne, dans une famille d’artistes. Après avoir passé trois ans aux Beaux-Arts de Nantes, elle travaille aujourd’hui au sein de l’atelier Tim Eitel des Beaux-Arts de Paris en 5ème année. Elle participe en 2022 à l’exposition « Une Chambre à Soi », dans la galerie Camille Pouyfaucon.
Eugénie réalise des huiles sur toile d’après ses propres photographies : elle capture des instants, des détails de son quotidien et de celui de ses proches, puis transpose ces images en peintures à la palette vive.
Le cadrage resserré de ses photographies lui permet de suggérer la présence du spectateur, immergé dans le tableau. Son travail célèbre la banalité, l’intimité ; Eugénie cherche le caractère universel des sujets ordinaires.

Eugénie Didier prépare une deuxième exposition à la galerie Camille Pouyfaucon prévue en février-mars 2024.🖼️ présentés courtesy de l’artiste Le citron The stain Gonflable Casteller

Anne Bourse est née en 1982 à Lyon, elle vit et

Chloé Vanderstraeten (née en 1996) vit et travai

Née en 1956 à Neuilly-sur-Seine, Agathe May vit

Marie-Jeanne Caprasse est née en 1972 à Bruxelle

$Marina Rheingantz est née en 1983 au Brésil. « Les peintures et les broderies de Marina Rheingantz se nourrissent de la remémoration des paysages brésiliens, des souvenirs de la compacité de la terre, de la lumière et de ses variations, du nébuleux atmosphérique des crépuscules, de la dissémination pointilliste des oiseaux dans le ciel, du surgissement en grappes de fleurs et d’arbustes, de monticules émergés à la surface des plaines inondées…En regardant ses peintures pour la première fois, quelques mots se sont manifestés avec entêtement. Les premiers furent arrêté sans être fixé, pour qualifier la manière dont cette peinture oblige à une mise à l’arrêt du regard, une mise à l’arrêt simultanément contrariée par l’écarquillement visuel impulsé par le feuilletage de plans et de motifs, par les plongées aériennes d’étendues sans horizon parsemées de motifs en suspension, d’agglomérats de lumière, de poussières, de phosphènes, de nuées d’éphémères microscopiques, pailletées de particules de réel figées en apparence et pourtant toujours mouvantes. Le regard est mis aux arrêts, littéralement mis en détention, stoppé dans son arpentage par la résistance de la peinture, par la compacité de sa surface, par la trame de motifs et de signes qui en parsèment les aires et s’y superposent comme des filtres ajourés. Le regard est à l’arrêt, sans être fixé – à l’arrêt comme un animal se met à l’arrêt, toujours en puissance de mouvement prompt, toujours aux aguets. Arrêté sans être fixé, c’est ainsi que pourrait être nommé le régime du regard happé par ces surfaces parfois vastes, toujours glissantes, toujours glissantes mais scandées par la pulvérulence des motifs, par leur éparpillement en nuées, motifs en nuées mais suffisamment agglomérés et prégnants pour arrêter le regard, sans le fixer. » Jean-Charles Vergne – Extrait du texte «Arrêté sans être fixé», FRAC Auvergne © Editions FRAC Starlight, 2020 Noturno em Si Maior , 2019 Fffffff, 2018 Marujo , 2020 @mrheingantz @jeancharlesvergne #fracauvergne #contemporarypainting #oilpainting #landscape #womeninarts #zenoxgallery$

Estelle Lagarde, est née en 1973, à Châtenay-Ma

Brigitte Aubignac est née en 1957. Elle vit et tr

En cette rentrée, un petit retour en arrière !

Née à Brest, Ann Ray (née : Anne Rayssiguier)

Hermine Bourdin est une sculptrice française née

Née en 1979 en Roumanie, Dana Cojbuc vit et trava

Pause estivale 🌞😉😜